L’argent Colloïdal

L’argent colloïdal est un produit bactéricide totalement naturel. Il s’agit simplement d’une suspension de particules d’argent dans une eau pure. 

Il a pour avantage d’éliminer uniquement les bactéries qui nous sont nocives et non les bonnes qui nous sont nécessaires. 

Trouvable en magasin bio, c’est un remède indispensable à avoir à la maison. 

?Connu comme « l’antibiotique d’avant », ce produit était très connu avant l’arrivée des antibiotiques de synthèse, vers 1940 environ.

Il était utilisé à la base pour équilibrer, réguler une activité bacterienne trop importante. 

Il n’y a pas de contre-indication, il est utilisable par toute la famille, du plus petit au plus grand, utilisable par voie interne et externe selon le type de trouble. 

(Par précaution je ne mettrai pas les posologies pour un usage interne) 

?Le degrés de concentration varie de 5ppm (mesure de nanoparticule d’argent présent dans 1L d’eau) à 20ppm.

〰️Comment ça fonctionne ? 

Il s’agit là d’un colloïde et dans notre corps nous avons aussi des colloïdes, à savoir le sang et la lymphe qui sont les liquides dans lesquels baignent nos cellules. 

Il y a donc une compatibilité naturelle et une assimilation facile de notre organisme. 

〰️Pour quels troubles ? 

L’argent colloïdal est utilisable pour une large liste de troubles. Notamment, il accélère la cicatrisation des brûlures et blessures (sur pansement). Il favorise la régénération osseuse et tissulaire. Il stimule le système immunitaire, purifie l’air et l’eau. C’est un puissant anti-inflammatoire. Il soulage les problèmes cutanés (dermite, psoriasis, acné, dermatite, allergies etc). Il est également efficace contre les problèmes ORL comme la conjonctivite. 

Il est aussi utilisable par nos amis les animaux lorsqu’ils ont des parasites internes. 

〰️Citations;

« L’argent colloïdal est notre meilleure arme contre les microbes » Dr Harry Margraf (université de Washington, St Louis) 

« L’argent tue même les souches résistantes aux antibiotiques et stimule la cicatrisation de la peau » Dr Robert Becker (université Syracuse, New York) 

Sonia Ouendi